mardi 17 novembre 2009

1,2,3 VIVE L' ALGERIE

MAAK YA EL KHADRA DIRI HALA LA QUALIF POUR LE MONDIAL EST POUR DEMAIN INCHALAH

samedi 10 octobre 2009

Monsieur Le Président de la République

MINISTERE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA SECURITE SOCIALE
OFFICE NATIONAL D’APPAREILLAGES ET D’ACCESSOIRES POUR PERSONNES HANDICAPEES. (O.N.A.A.P.H.)
– CADRES SUPERIEURS DE LA DIRECTION GENERALE / 09, BOULEVARD VICTOR HIGO – ALGER / TEL. : 021.71.80.02 – FAX. : 021.71.90.62.


Monsieur le Président,

Nous avons le regret de porter à la connaissance de votre excellence que malgré nos multiples écrits adressés à notre tutelle relatifs à la situation catastrophique de notre office, aucune mesure n’a été prise à ce jour.

Nous, cadres et représentants des travailleurs de l’Office, longtemps brimés, exploités, rejetés, marginalisés, des fois même licenciés par l’actuel tenant des règnes et de la destinée de notre entreprise, en l’occurrence Monsieur DJELLAL Fateh, de par sa politique rétrograde de chasse aux compétences, et par dessus scandalisés, offusqués et offensés par sa désignation et son maintien au poste de Directeur Général, avons l’honneur de saisir votre excellence pour dénoncer les innombrables malversations et agissements illégaux qui sévissent au sein de notre entreprise, qu’une commission d’audit et d’enquête, une fois dépêchée sur les lieux, en dévoilerait facilement les tenants et les aboutissants, et mettrait aussitôt un terme à cette décision, que nous qualifions d’accidentelle et de catastrophique pour l’avenir de notre entreprise et celui de l’état si elle venait à perdurer.

Nous tenons à vous informer, Monsieur le Président, que le susnommé, avec son ignorance accablante des b.a.-ba de la gestion, vu sa modeste expérience dans le domaine (né en 1965) et son niveau d’instruction des plus rudimentaires (C.A.P. en comptabilité), au lieu d’avancer et de se développer, veut faire un saut dans le vide et faire revenir l’entreprise à l’ère des tyrans, pour s’offrir une nouvelle virginité, étant à l’origine de plusieurs irrégularités qui se sont produites auparavant en sa qualité de Financier, que l’entreprise a chèrement payé, telles que les multiples détournements aux niveaux des unités de fabrication et le dernier en date (mars 2007) étant celui de Benaknoun, avec un préjudice de plus de 03 Milliards qui illustre parfaitement la gabegie qui y sévit.

Nous tenons aussi, par la même occasion, vous donner un petit aperçu sur quelques dérives qui se sont produites récemment telles que :

1) L’inauguration scandaleuse, en date du 18 mars 2009, de la salle de rééducation, de cent sept mètres carrés (107 m2), de l’unité de BENAKNOUN – Alger, à laquelle a été invité Monsieur le Ministre, et qui a coûté la bagatelle de deux milliards deux cent cinquante trois millions sept cent soixante cinq mille cent quarante deux dinars et dix sept centimes (2.253.765.142,17 Cts) au lieu de trois cents vingt et un millions de centimes (321.000.000,00 Cts), à raison de trois millions de centimes (3.000.000,00 Cts) le mètre carré bâti fini,

2) Sans vergogne, ni foi ni loi et profitant toujours de la naïveté des travailleurs, une escroquerie et une arnaque scandaleuse et unique en son genre s’est produite à l’occasion de l’anniversaire de notre office, quant notre Direction Générale a acheté, en pleine saison printanière pour ne pas dire période chaude et sans aucune consultation restreinte préalable ni appel d’offre, mille quatre cents cinquante trois (1453) couvertures (couettes) d’une très mauvaise qualité, avec une somme astronomique de quatre cent vingt trois millions six cent vingt trois mille cinq cent quarante cinq dinars et soixante huit centimes (423.623.545,68 Cts), au profit soi-disant de tous les travailleurs de l’office à travers le territoire national, chez un même fournisseur, possédant un atelier de confection archaïque dans un coin perdu, de surcroît très proche parent (sœur) d’un cadre supérieur de l’entreprise (retraité contractuel), à un prix unitaire deux fois et demie (2,5 fois) supérieur au prix détail appliqué sur le marché local. Au lieu de profiter des prix préférentiels par rapport à la quantité très importante des couvertures achetées et faire jouer la concurrence à travers les différentes régions du pays, des surcoûts viennent se greffer au coût d’achat tels que les frais de transport et les frais de missions colossaux des syndicalistes véreux en villégiature transformés à l’occasion en livreurs (facteurs de la honte) à partir de l’Algérois. La livraison partielle de cette MARCHANDISE (couette) a été effectuée au niveau de quelques unités seulement sans aucun document ou pièces probantes retraçant son acheminement (ni bon de livraison, ni bon de cession, ni décharge, ni renseignement du fournisseur, ni rien du tout).

3) Une opération, entachée d’irrégularité, d’achat de 4000 axes (pièces détachées), chambre à air et pneus pour fauteuil roulant, avec des sommes colossales, qui enfreint toutes les procédures de l’entreprise en la matière et transgresse abusivement les obligations légales édictées par le code des marchés publics, a été effectuée, de gré à gré, avec un fournisseur dénommé « NATRAD » (seul candidat), qui est en réalité le frère du Sieur BELHADJ, S/Dir. des finances au niveau de notre D.G. et proche parent de Mr DJELLAL F. Cet achat a été effectué sans qu’il passe par la commission des marchés et sans son aval préalable. Et le président de cette dernière, en l’occurrence Monsieur BOUAFIA M., n’a pas voulu cautionner cet achat et a catégoriquement rejeté postérieurement cette opération pour justement irrégularité et inobservation des procédures légales. Il se trouve également que ces axes ne sont pas aux dimensions et normes exigées et ne répondent nullement à la qualité minimale requise, alors pour cacher ces défauts un fraisage et un chariotage, entre autres, doivent se faire systématiquement pour les rectifier avant leur pose sur les roues des fauteuils roulants, fabriqués au niveau de notre unité de production de TIGZIRT, ce qui engendre un surcoût considérable et se répercute négativement (gravement) et immanquablement sur la qualité de ces derniers et qui était déjà à la limite de l’acceptable et l’admissible.

4) Une affaire d’escroquerie et de détournement d’appareils auditifs du centre de TIZI-OUZOU dont les victimes sont des gens âgés et la plupart des anciens MOUDJAHIDINES qui se sont plaints il y a de cela plus d’une année sans qu’ils soient rétablis dans leur droit.
Cette escroquerie et détournement, confirmés par un rapport d’audit interne, ont été couverts, par esprit de clanisme et de régionalisme, notamment par Mlle BENKACI, Directrice Centrale de l’Administration, juriste et de surcroît proche parente de l’incriminé, censée résoudre ce problème et déposer plainte au niveau de la justice, mais malheureusement l’incriminé, en l’occurrence M. MESSAOUDI, chef du centre en question, coule des jours tranquilles après avoir été admis à la retraite sans être aucunement inquiété.
Cette couverture n’est pas aussi gratuite que cela puisse paraître car une opération d’achat à l’importation d’un stock très important d’appareils auditifs défectueux et inutilisables de plus de deux millions de centimes l’unité a été opéré auparavant coûtant des centaines de millions à l’entreprise. Ce stock reste toujours dissimulé dans des magasins sordides à l’abri des regards.

5) Un scandale immobilier des plus spectaculaire, caractérisé par « la négligence manifeste ayant entraîné la perte de deniers publics » et ce conformément à l’article 119 du code pénal. Il y a quelques années, notre Directeur Général (ex financier central), Monsieur DJELLAL Fateh, avec son équipe et assistée par sa soi-disant juriste, Mlle BENKACI Karima, ont procédé à l’acquisition d’un terrain à Oran, objet du litige, de 2700 M2 abritant notre unité, en payant la somme de 1,7 Milliards, et en 2006 le pot aux roses a été dévoilé et il s’est avéré que le terrain en question ne couvre que 260 M2 et l’unité d’Oran se trouve actuellement menacée d’expulsion et de fermeture par le propriétaire de surcroît privé.

6) Fin 2006 fût marquée par deux (02) irrégularités flagrantes, la première lorsque ce Financier acquit un logiciel de comptabilité «SAGE», piraté, non opérationnel et facturé à plus de 800 millions en plus des 100 millions de formation, l’autre relative à l’importation, pour un montant de 900 millions, d’accessoires audiologiques, invendables, inutilisables et dissimulés dans des magasins sordides à l’abri des regards. Malheureusement, malgré les démêlés avec la justice qui a mis en exergue sa défaillance et ses manquements aux règles prudentielles de gestion, dans plusieurs circonstances, ce Financier (actuel D.G.) s’en sort à chaque fois comme par miracle.

7) L’exubérance de la nouvelle politique de communication et de délégation de pouvoir et cette alliance contre nature avec les syndicalistes n’est que de la poudre aux yeux pour cacher de multiples opérations d’investissements et d’acquisitions non-conformes à la réglementation et au code des marchés publics en vigueur, notamment la dernière réfection de l’unité de Benaknoun qui a coûté à l’entreprise la bagatelle de (06) milliards de Dinars alors que ces travaux n’étaient nullement indispensables et la valeur réelle ne peut dépasser deux (02) milliards 400 millions, en plus d’un soit disant projet de construction d’une salle de rééducation de 100 M2 (sur)évalué à (02) deux milliards ainsi que la location d’un logement pour ce même D.G. à hauteur de 80.000,00 DA/Mois et il se trouve que ce logement est au nom de son beau frère et qu’il l’a toujours habité, (autrement dit il s’est loué son propre logement). Et vouloir garder la main mise sur les différents sous - organes de gestion et de contrôle de l’entreprise et faire taire la protestât et la grogne sociale qui bouillonne au sein de la masse travailleuse atteste de la chape de plomb existante et prouve aussi l’omnipotence de cette équipe malhonnête.

8) Le dernier scandale de gestion qui défie la chronique, à savoir l’achat par notre Directeur Central Technique (DCT), le moins qualifié de tous nos cadres, en l’occurrence le Sieur SEBAI Arezki, de 10 000 (DIX MILLES) pièces détachées (soi-disant neuves), pour roues de fauteuil roulant et voiturette à moteur pour handicapés, à des prix exorbitants, composées d’axes de roues non-conformes, que nos ateliers de montage au niveau de nos unités de production (TIGZIRT et EL KALA) doivent modifier à chaque assemblage. En plus des achats d’autres lots de pièces détachées défectueuses et de très mauvaises qualités, dont la population d’handicapés souffre et se plaint régulièrement.
Le Sieur SEBAI Arezki, en acculant et méprisant l’ensemble de son entourage, tous cadres compétents et ingénieurs d’état d’école et d’institut de renom, a fini par les décourager et les chasser de notre entreprise. Audacieux et courageux, ces ingénieurs, devenaient « dangereux » pour lui, et dérangeaient par leurs écrits en dénonçant tous les vices et malfaçons des pièces achetées dans l’opacité la plus totale. Et notre Directeur Général manifeste un mutisme déconcertant face à ce genre de scandales récurrents.

Nous vous saurions gré, Monsieur le Président, de bien vouloir dépêcher une commission d’enquête au niveau de notre office car ceci n’est que la partie apparente de l’iceberg et vous prions d’agréer l’expression de nos sentiments de très haute considération.

jeudi 24 septembre 2009

L’UNITE AUDIOPROTHESES SOUS LA DIRECTION DE LA RARBOMANIA LANCE UN NOUVEAU SERVICE LA DISPENSE DE COURS DE CONDUITE DONC AVIS AUX AMATEURS

mardi 22 septembre 2009

AIDOUKOUM MOUBARAK
LES CADRES LIBRES DE L'ONAAPH SONT DE RETOUR

mercredi 15 juillet 2009

DOSSIER N° 01 AMENAGEMENT 2 TOILETTES A L’UNITE DE BEN AKNOUN MAITRE D’OUVRAGE : AIT YOUCEF HOCINEBUREAU D’ETUDE : AIT YOUCEF HOCINE ENTREPRISE DE REALISATION : PRETE NOM HAFAIFA DELAIS DE REALISATION : 7 joursPRISE DE VUE : AVEC L’APPAREIL DE PHOTO NUMIRIQUE VOLE.Fiche technique : 2 cuvettes anglaises 2 lavabos 50 mètres de fiance 6 mètres carre de carrelages Devis estimatif avec pose 2 cuvettes anglaises 1er choix 18 000 DA x 2 = 36 000 DA 2 lavabos 1er choix 15 000 DA x 2 = 30 000 DA50 mètres de fiance 1er choix 1 000 DA x50= 50 000 DA 6 mètres carre de carrelages 2 000 DA x 6= 12 000 DAMaçonnerie divers 14 mètres 1500 DA x 14 = 21 000 DAEnlèvement de grava 2 camions : 12000 DA x 2 = 24 000 DAtotal general =173 000 DA FACTURE PRETE NOM HAFAIFA 2 cuvettes anglaises 1er choix 80 000 DA x 2 = 160 000 DA 2 lavabos 1er choix 70 000 DA x 2 = 140 000 DA50 mètres de fiance 1er choix 10 000 DA x50= 500 000 DA 6 mètres carre de carrelages 20 000 DA x 6= 120 000 DAMaçonnerie divers 14 mètres 15 000 DA x 14 = 210 000 DAEnlèvement de grava 2 camions : 120 000 DA x 2 = 240 000 DAtotal general =1 370 000 DA LA CONBINE CONSISTE A CE QUE LA MEME FACTURE FINANCE DEUX (2) PROJET L’APPARTEMENTT DU MAITRE D’OUVRAGE EN L’OCCURRENCE SON LOGEMENT QUI SE TROUVE A BOUZAREAH ET LES TOILETTES.L’OUVRAGE A ETE REALISE DURANT L’ANNEE 2007 PENDANT QU’IL ETAIT DIRECTEUR DE L’UNITE DE BEN AKNOUN .Synthèse : affaire à traduire en referait devant le tribunal militaire de Blida

quand on une entreprise, où l'atmosphère est pollué, on trouve rien à dire, au nom d'Allah le tous Puissant monsieur le DG réglez tous, stop à la discrimination, stop à la hogra surtout des diplômés, il y a des gens qui ont été récemment recrutés avec des postes de cadres d'études NVII et qui n'ont aucune relation avec la gestion, et qui ne bénéficie d'aucune expérience, qu'es ce qu'ils vont donner ces gens la plus que des diplômés expérimentés dans la matière?????Voyez autour de vous Mr le DG vos collaborateurs sont entrain de vous noyer...ne laissez pas le début de carrière serra votre fin de carrière...il y des employés qui aiment vraiment la boite, adore la voire avancé, vous avez développez certes, mais vous avez oubliez pour ne pas dire négliger la ressource humaine qui sans motivation tout le reste bloquera, il n'y a pas de gestion des ressources humaine il y a la gestion des pointages
Les cadres libres de l’ONAAPH ont retirés les commentaires qui ne sont pas digne de notre éducation, il ne faut pas oublier que nous ne sommes pas dans la rue un minimum de respect MERCI

mardi 14 juillet 2009

BONNE EVALUATION MESSIEURS

Au chef, il faut des hommes et aux hommes, un chef

samedi 11 juillet 2009

PROVERBE ZOULOU DU JOUR

Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens

NOTE AUX UTILISATEURS

Les cadres libres de l'ONAAPH vous prient de bien vouloir garder un langage respectueux a l'égard de tout le monde.

A cet effet nous déclinons toutes responsabilités quant à touts dépassements de langage. Cet espace reste et doit être respectueux merci

NOTE AUX UTILISATEURS

Les cadres libres de l'ONAAPH vous prient de bien vouloir garder un langage respectueux a l'égard de tout le monde.

A cet effet nous déclinons toutes responsabilités quant à touts dépassements de langage. Cet espace reste et doit être respectueux merci

Poème du jour

Maître DJELLAL, Bd Victor Hugo, régnait.- Des cadeaux, au ministère, il dépêchait.- BENMEKKI, entretemps magouillait.- Thermos, au chaud, les nouvelles, il conservait.- Droppy, avec ses grandes oreilles, ouissait.- Sadique, les femmes, il flagornait.- Ait youcef, de haut pérotait.- MEHENNI, de sa langue et les bottes, il léchait.- BOUCHELITI, les couettes, il commerçait.- Des œuvres sociales, les frais, il acquittait.- Est-ce que, chez le procureur, il irait.- TIOURA, de S.A., avec le téléphone de l'office, il hélait.- De MEHENNI ou BOUCHELITI, les postes, il appétait.- Les travailleurs, devant la justice, lestaient.- Et avec l'huissier, les comptes, ils bloquaient.- Le docteur Z, les tarés, il auscultait.- Mais les guérir, point il ne le pouvait.- Et l'office, à cause du staff, coulait.- Et le blog naissait et se distendait.- Et du bruit, de plus en plus, il en avait.- Et, après la fonte des neiges, la m...Apparaîtra.- Et un beau jour, tout le monde saurait.- Et alors, enseigner aux universités, qui pourrait y allait.- Ou alors à Serkadji, les cancres séjourneraient.- Et le procureur, du travail, il aurait.- Et les travailleurs et travailleuses, enfin débarrassés, heureux, ils étaient; Beaucoup d'enfants, ils faisaient.- Et le bien du mal, heureusement, triomphait.- Et les potentats, là ou ils devaient être aboutiraient.- Et cette fin coruscante ne saurait tarder.

samedi 4 juillet 2009

2eme assemblée générale à l'unité de Benaknoun

4eme épisode

- Fate Hamon 1er : Sadique, te voila enfin de retour, mais ou est ta main et ton œil ?

- Sadique : l'émir m'a coupé la main, parce qu'il trouvait ridicule qu'à mon age je porte un bracelet et que c'est « la yadjouz ». Quand à mon oeil, j'ai lorgné du coté du harem et il m'a éborgné. Et encore, si je n'étais pas ton envoyé, il m'aurait coupé bien d’autres choses. La prochaine fois envoie BOUCHELITI.
En tous les cas, c'est réservé, on peut partir quand tu veux.

- Fate Hamon 1er : Elle est bien bonne, je vois bien BOUCHELITI chez l'émir le soir en train de fumer un joint de Hashish au clair de lune et de chantonner du chaabi. Il lui couperait la langue et le larynx, et qui ira à sa place à la convocation du procureur ?
Non pas MEHENNI, qui doit faire une lessive et le ménage, il vient juste d'acheter une serpillière et du savon de Marseille parfumé à l'ignominie et à la trahison.
Voila que je commence à verser dans l'existentialisme. Comme mon ami BENELOUEZENE, un grand théoricien.
Pour lui le coran se devait d'être, dans sa bibliothèque, entre le capital et les mémoires de cheb khaled, dans ses citations aussi, très éclectiques le bonhomme que je salue impérativement, ou bien emperereument, ou je ne sais plus….

BOUCHELITI et MEHENNI, posez vos bières et vos joints et allez monter la garde.
Ce blog commence à prendre des proportions gigantesques et je me sens comme nu.
C'est comme si j'étais dans ma salle de bain, marbrée et que je me regarde dans le miroir. Je me dis, tu es beau, toi et intelligent. Ne soyons pas chiche, tu es génial. Toujours en train d'innover.
Tout le monde a une grille numérique, j'innove, la mienne sera alphabétique. Les autres ont un seul point indiciaire, j'innove, j'en aurais deux. Les autres gestionnaires ne bloquent pas, j'innove, je bloque tout ce qui passe devant mes yeux. Un jour, je bloquerais mon propre salaire.
Chez les autres, il y a une seule prime de panier, j'innove, j'en aurais deux. Et ça maaaaarche pour moi, ça plane pour moi. Jusqu'à quand ? Seul chikh BATBOUT le sait. Et encore.
Mais je fais bien des jaloux. Ils disent pourquoi ne respecte t-il pas les règles ? Quelles règles ? Moi, j'ai un double décimètre et je le respecte.
Je prends beaucoup de place. Hein, je ne peux m'arrêter de parler. J'adore ça. Il faut « qu’on se comprendre» me voir pendant les réunions. 10 heures d'affilée. Quoi « time is money » ? Mais je ne suis pas anglais moi « mossieur ». Je suis algéro-arabo-musulmo-berbero-…. « à pipré tous » !!!
Seul TIOURA est capable de m'égaler, mais je ne le laisserai pas faire. Je parlotte, je monologue, je soliloque. Seuls TIOURA et moi avons le droit de porter le caducet de lacoste.
Quoi logo, tu veux m'apprendre à parler « la France » toi ?
Ce qui est bien, vous allez vous esclaffer comme des baleines, c'est qu'il n'en sort rien de ces foutues réunions, à part ce que vomissent MEHENNI et BOUCHELITI à force de s'empiffrer comme des cochons.
Et on remet ça à chaque fois. Je suis un drôle de garnement, tu l'as dit et un cancre têtu, mais alors là têtu comme une bulle. Quoi, Qu'est ce que la mule a à voir la dedans.
La leçon ne porte jamais avec moi. Droit devant moussaillon. Pas d'arrêt pour réfléchir. Pas de marche arrière. Faisons un grand pas en avant vers le précipice.

- MEHENNI et BOUCHELITI essoufflés :
votre sainteté pékinoise, nous venons de communiquer avec chikh BATBOUT qui a formaté le disque dur de sa boule, a installé le «vistapé », l'a «turbolisé» avec XP xxl et a installé un écran «plasmatique» et devinez quoi ? Il a situé les lettreurs anonymes. Il y a la ci aie é, la «déésté », le service intelligent des anglais et le MOSSAD des israéliens. Et il a même su qu'une lettre toujours anonyme était en route dénonçant au procureur général d'Alger, BOUCHELITI et ses paiements de frais sur une rubrique qu'il n'avait pas le droit de toucher (NDLR : vrai de vrai, départ du courrier le 08/06/2009 à 15h30 GMT). BOUCHELITI, entre nous, veut tout vous mettre sur le dos. Il va s'engager dans les danseuses du ventre et partir vers les émirats en attendant votre sacre.

- LAKHDARI :
Ce n'est plus de la gabegie, la CIA, la DST, l'IS et le MOSSAD, ces occidentaux ont certainement eu vent de votre projet pour la présidence et ensuite l'empire et pour eux cela est anti-démocratique. Les israéliens eux ne veulent plus refaire l'expérience de leurs ancêtres avec votre ancêtre ramsés. Ce n’est pas gagné.


A suivre…


Tilleul plus d’effet ( accoutumance )


( NDLR) Au moment où nous publions, il est toujours DG, fumons du (Hé boucheliti envoie) ça nous fera peut être rêver , le cauchemar continue .

mercredi 1 juillet 2009

2eme Assemblée Générale à l'unité de Benaknoun

3eme épisode

DJELLAL : je ne vous croie pas, c'est la révolution ou quoi ? Je suis sur qu'il y en a parmi vous qui espèrent me détrôner. Pas mes fidèles MEHENNI et BOUCHELITI, surtout pas après la note par laquelle ils prennent en charge les frais engagés par les rebelles. C'est carrément du détournement, de l'abus de biens sociaux (l'argent des travailleurs à mon service exclusif pour effacer mes bêtises) ça, c'est de la pure fidélité. je les ai bien formés (déformés). ne reconnaître aucune autorité autre que la mienne. ce n'est pas comme ce rebelle qui a préféré l'exécution du jugement au poste éminemment supérieur que je lui offrais. Ah ! quelle ingratitude.

La Quinte, le 1er et 2eme duo : Pharaon, il y a une autre solution, courage, fuyons et éstons nous-mêmes l'office en justice après, nous sommes surs de vaincre, puisque aucune affaire, depuis la création de l'office n'a été gagnée.

DJELLAL : un Pharaon ne fuit pas, il ne démissionne pas. (NDLR : mais il peut être démissionné ou noyé), Peut être " irais-je alors donner de mes augustes connaissances aux étudiants des universités (Algériennes)".
Ou peut être me suiciderais-je, comme mon ancêtre Cléopâtre, mais seulement avec du musc d'escargot.
(Pas bête l'animal). Non, laissons ces misérables et allons bd Victor Hugo concocter une stratégie.
Je n'ai pas tout réussi, y compris à devenir DG pour échouer maintenant. Je suis protégé par Ra, les Oracles, la patte de Lapin, le HARZ de cheikh BATBOUT, mes Ersatz de diplômes et par les conjonctures.

Les travailleurs : enfin, le bonhomme a avalé un blue ray ou quoi ? C’est la dernière fois que nous le voyons.

DJELLAL et le reste dans la forteresse du bd Victor : mes fidèles et presque fidèles, il s'agit d'être prudents et stratèges. Préparer, non la fuite mais un retrait tactique, est une priorité, en attendant la reconquête. La quinte, vous allez nous préparer des radeaux de fortune avec les matelas anti-escarres que vous irez piquer au magasin central. Le 1er duo, allez voir la météo chez chikh BATBOUT. Le 2éme duo, continuez à surveiller le Blog et tendez vos grandes oreilles pour me ramener les informations. Qui Détient l'information gagne la guerre. vous n'êtes pas aussi efficace que «Thermos : SEBAI», mais il est occupé.
que cela soit écrit et accompli.

MEHENNI, BOUCHELITI, TIOURA ET LAKHDARI : quand est ce qu'on mange ?

A suivre….


(NDLR) Au moment où nous publions, il est toujours DG, fumons du AR’AR, le cauchemar continue.

mardi 30 juin 2009

2eme Assemblée Générale à l’unité de Ben aknoun

2eme épisode

Un travailleur hurle : discrimination, discrimination.

Toujours DJELLAL : discrimination toi-même. C’est la faute à la DCRH-AG. Ce n’est qu’hier qu’ils m’ont informé que le mur de Berlin était tombé, que les goulags n’existent plus et qu’on commence à parler maintenant de droits de l’homme. Ah ! c’était le bon vieux temps. Les 5 qui ont fait exécuter les jugements, au goulag ! Au suivant ! J’ai quand même un beau tableau de chasse. 1 Directeur Central, 3 Directeurs d’unité et bientôt 1 Directeur d’agence (qu’il profite bien de ce moment de répit, le dossier que lui préparent LAKHDARI et SADIQUE l’enverra directement au TPI). J’ai même eu la peau de KACI, pour vous dire, il faut le faire. Y a qu’un DJELLAL pour faire ça.

Il fallait bien rattraper le retard. Pendant 10 longues années, avec BENELOUEZENE, aucun licenciement. (NDLR authentique, même des travailleurs condamnés par la justice pour vol continuent de couler des jours heureux).
Je suis tellement ennuyé par ce dossier de nuisances. Je suis prêt à aller dans une mosquée, une synagogue, une église ou un temple pour jurer que les nuisances ont été bien incluses dans le salaire de base.
Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs faites-moi un désistement pour l’amour du ciel (maudit soit SEBAI qui est à l’origine de tout ça, un simple technicien qui bricole dans la conception administrative, c’est comme si un mécanicien faisait de la chirurgie esthétique).

Les travailleurs unanimes et avec un bras d’honneur : Tiens, voila du boudin, tiens voila du boudin…
Re-DJELLAL : Oh ! mais vous ne me connaissez pas encore. Je vous aurais un jour, je vous aurais. Allez mutation, même la bonne femme, ça vous apprendra en attendant des jours meilleurs. BENMEKKI et les négrots de service Sadique, MEHENNI, BOUCHELITI, SEBAI, prenez un carrosse et allez dans l’Algérie profonde convaincre mes sujets. Remplissez-vous la panse, buvez, rameutez vos fidèles toutous et ramenez-moi ces maudits désistements.

L’Algérie profonde : He Banane ! tu sais ce qu’elle te dit l’Algérie profonde ? Bras d’honneur.

Les travailleurs unanimes : bien fait pour sa gueule avec un énorme éclat de rire.

Plusieurs prises en charge plus tard et après que MEHENNI et BOUCHELITI aient découverts ce que sont une côtelette d’agneau et une purée de pommes de terre….

DJELLAL : O rage, O désespoir, vous êtes revenus bredouilles après tout ce que vous avez dépensé. Savez-vous que si je tombe, vous chutez.
La quinte (BENMEKKI, DJALLAL, SEBAI, OUHACHI et HOUARI) le duo (MEHENNI & BOUCHELITI) le 2eme duo (TIOURA & LAKHDARI) unanimes : O nôtre Pharaon, tu ne peux tomber, nous te protégerons, nous avec nos femmes et nos progénitures, et irons devant la cour suprême, nous expliquerons, menacerons, décapiterons et utiliseront tous les stratagèmes afin d’enterrer ce dossier avec leurs auteurs, qui risquent de nous couler, pardon nous voudrions dire de couler l’entreprise. Et alors Adieu, veau, vache, cochon, combines, magouilles, couettes, ballades aux frais de notre adoré Pharaon….

A suivre…

(NDLR) Au moment où nous publions, il est toujours DG, fumons du AR’AR, le cauchemar continue.

lundi 29 juin 2009

2eme assemblée générale à l'unité de Benaknoun

1er épisode.

Mr DJELLAL Fateh, directeur général de l'office ouvre la séance par ces mots : je suis ému.
· Quelques petits malins : Ah, il s'appelle comme ça. vive Zému 1er, vive Zému.
· Je vais être le plus concis possible.
· Quelques petits malins : si possible.

Il devient rouge de colère, broie du noir et devient blanc livide dans le beau ciel bleu d'Alger qu'il voit déjà gris parce que son automne approche.
Houari se précipite pour lui lécher la main en lui disant : Pharaon calme toi et ne sors pas de ta réserve légendaire. Au tour de thermos (SEBAI) de lui lécher la main gauche. Arrivent en courant, BOUCHELITI et MEHENNI, qui lui lèchent les pieds (Aissat Idir et Benhamouda doivent se retourner dans leurs tombes).
On entend un avion qui se pose et on voit accourir TIOURA et LAKHDARI. Le 1er dans sa précipitation a oublié ses prothèses à Souk Ahras district et le 2eme son couteau de boucher à la main avec lequel il était en train d'égorger LEBSIR. Il s'ensuit une mêlée, car ils se disputent avec MEHENNI et BOUCHELITI qui léchera la plante des pieds de DJELLAL et ils finissent par l'emporter car ils ont beaucoup plus d'ancienneté dans la position de génuflexion qu'ils ont de tous temps.

Retour au calme.

· DJELLAL : tout ceci est pure jalousie parce que j'ai réussi. Déjà quand je suis rentré à l'onaaph, le candidat qui était avec moi a pris les escaliers et moi, malin comme j'étais, j'ai pris l'ascenseur et suis arrivé en haut frais et pétillant, alors qu'il est arrivé haletant et il est toujours chef d'équipe.

C'est ça une équipe qui gagne et une équipe qui perd.

J'ai réussi à asservir le syndicat et le CP, je n'avais pas besoin d'asservir les cadres, ils étaient Serviles depuis leur naissance.

Je n'arrive plus à compter le nombre de magouilles, de compromis et de compromissions que j'ai du accomplir pour arriver là où je suis et je remercie Mr BENLOUEZENE qui m'a aidé pour dans le seul et unique but «couvrir ses propres arrières».

A l'arrivée et voulant moi aussi couvrir mes arrières, j'ai appelé BENMEKKI et DJALLAL
Sadique. BENMEKKI, dans le bon, la brute et le truand, c'est le GRAND TRUAND et il n'y a pas de bon dans l'équipe. Sadique, c'est le vieux beau, l'éternel DON JUAN mais personne n'est parfait. Vous devinerez qui est la brute. Est arrivé ensuite OUHACHI le compteur de stylos qui a fini quand même directeur d'agence et enfin mon fidèle toutou, HOUARI, malléable et corvéable à merci qui tuerait pour moi.

Une grande équipe qui gagne et qui obéit au doigt et à l'œil et qui satisfait tous mes Phantasmes.

En 2001, j'étais président de la commission de négociation de la convention collective et DAF et j'ai décidé de bloquer les rappels sur frais de mission. Cela fut inscrit et accompli.

En 2006, j'ai décidé de bloquer ce qui était conventionnel, avancement à l'échelon, complément de frais de mission, rappels sur frais de mission etc. J'ai ensuite décidé que les administratifs devaient être classés dans la catégorie des sous hommes et que seuls les productifs verraient leurs salaires et leurs primes de panier augmentés. Cela fut inscrit et accompli.


A suivre


(NDLR) Au moment où nous publions, il est toujours DG, fumons du AR’AR, le cauchemar continue.

DIFFUSION GENERALE

mardi 23 juin 2009

LA SCIENCE AUDIO & LA RARBOMANIA

Monsieur le Ministre de l’emploi, du travail et de la sécurité sociale

Nous avons l’honneur de vous signaler les abus qui se passent dans notre office (ONAAPH) et surtout au niveau de la direction de l’unité audiologie sise à la place des martyrs.

Madame RARRBO, Directrice de cette unité a été nommée sans avoir le niveau de formation requis et les compétences et l’expérience suffisantes pour ce poste. Elle n’a aucune maîtrise de la ressource humaine et ignore les rudiments des techniques de gestion, elle a été parachutée à ce poste de commandement et de grande responsabilité parce que son époux est cadre au niveau de votre Ministère. Prétentieuse qu’elle est, elle se prévaut des connaissances qu’elle a à tous les niveaux.

Cette cooptation a été opérée dans le seul but de couvrir des malversations et des opérations d’achat et d’importations frauduleuses et ne répondant nullement aux règles du code des marchés publics. Son incompétence, son irresponsabilité et son laxisme ont fait qu’elle n’a su gérer, entre autres, ni le dossier de détournement de Tizi-ouzou, où tout un monde (des Moudjahidines) fût arnaqué par son chef de centre, ni les stocks dépréciés et réparties, pour être dissimulés dans des sordides magasins à l’abri des regards, à travers le territoire national et qu’elle n’arrête pas d’y en accumuler. Elle a fini par prouver ses limites et son improbité et décevoir tout son entourage.

Elle cumule les fonctions incompatibles de Directrice d’unité et Présidente de la commission des marchés, en connivence avec ses paires du syndicat national, pour les achats d’équipements et d’appareils auditifs importés, concernant sa propre unité, dont les prix sont exorbitants et les produits de très mauvaise qualité. Et elle est juge et partie dans sa gestion, et ce n’est pas fortuit qu’elle dépende directement de la Direction Générale, alors qu’elle devrait avoir comme tutelle directe une agence régionale au même titre que toutes les autres unités de l’office. Cette exception dans la gestion de l’unité audiologie ne peut être due à son envergure nationale, car ses centres éparpillés un peu partout sont livrés à eux-mêmes et laissés pour compte et leur charge dépasse largement leur recette.

Son statut particulier et exceptionnel de Directrice hors normes, alors qu’elle n’a jamais géré une seule structure ou commandé une seule personne de sa vie, en plus d’être la moins qualifiée de tous les Directeurs, à tout point de vue, laisse planer le doute et confirme les rumeurs persistantes colportées par la majorité des cadres de la DG, qu’elle se trouve ainsi mêlée à de sombres magouilles et est impliquée dans toutes les malversations et actes délictueux qui entachent la gestion de son unité. Assurée par la DG de l’impunité, elle compte sur son mari et ses connaissances au Ministère pour couvrir ses malversations et sa mauvaise gestion.

Le comble, c’est qu’elle est orientée, conseillée et dirigée directement par son coach le Sieur MEHENNI, marionnette analphabète trilingue, qui occupe pour la circonstance un bureau à son coté dans le même site. En réalité ce n’est pas par pur hasard que les deux bureaux se côtoient, le DG, vilain qu’il est, les a placé ainsi pour qu’ils se surveillent mutuellement (AICHA W BINDOU).

Le Sieur MEHENNI, se vante de faire et de défaire les directeurs d’unité, à l’instar de notre Directrice, et se prend pour un véritable Directeur Général Adjoint (DGA). Il se substitue à l’employeur en prenant carrément des décisions en son lieu et place et fouine dans la gestion courante des unités, à l’affût de la moindre opportunité d’affaire, se prévalant ainsi d’être «co-gestionnaire» et avoir le droit de regard et d’intervention dans tous les domaines et sur tout ce qui se passe au niveau de l’office.

Opportuniste dans le sang, dépassé par les événements et ignare à l’infini, ce dernier s’appuie sur la loi 78/12 et le SGT alors qu’ils ont été abrogés depuis plus de 18 ans et sa méconnaissance de la teneur des lois 90/11, 90/14…le laisse se conduire comme un auditeur-inspecteur, alors qu’il n’a aucune notion de gestion, et le DG le laisse faire afin d’en faire un allié et un complice (un toutou), acceptant même des actes réprimés par la loi tels que les mutations arbitraires et abusives des travailleurs et le paiement d’avocats et de frais de justice sur les fonds propres des œuvres sociales.

Ce petit cordonnier, sans aucun niveau d’instruction ni diplômes, ne maîtrisant même pas la fabrication d’une simple chaussure, bénéficie des largesses du DG sur le dos des pauvres travailleurs qui l’ont élu. Il a le culot de charger ses collègues de travail et de menacer les cadres d’une sanction au cas où ils n’appliquent pas ses ordres. Laid comme un cochon, avec une bouche comme un égout, il représente affreusement l’office dans toutes les occasions et circonstances ; parlant peu ou pas du tout en réunion, en regroupement ou en assemblée, car il ne sait même pas aligner deux mots en arabe ou en français, ou dans les meilleurs cas de figure, on doit parler à sa place (par procuration : il s’adresse à ses collègues par personnes interposées).

Nous vous demandons, Monsieur le Ministre, une commission d’enquête, sur cette affaire, car il y va de la gestion des handicapés auditifs qui souffrent énormément.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de nos meilleures salutations.

lundi 15 juin 2009

ONAAPH

(ONAAPH CADRES LIBRES = WLAD EL HARKA KHOUBATHA)

Monsieur BELHADJ prenez la peine de rédiger un petit paragraphe c’est difficile mais faite un effort ou bien faite vous aider !

Les cadres libres de L’ONAAPH en réaction a ce commentaire ne trouverons pas mieux et excellente réponse que celle portée par un autre commentaire qui ne viens pas des fondateurs de ce blog mais qui proviens de chez une personne anonyme, anonyme au blog mais pas a l’office cher collègue
Cette personne qui a si bien compris la situation de notre office et nous disons bien notre office nous lui accorderons un espace de communication a travers lequel il déposera les commentaires qu’il voudra bien nous envoyé.

(Pauvre âne-onyme tu ne connais pas ce que sont wlad el harka et les khoubatha. Pas étonnant tu dois penser avec ton estomac donc tu as peur de perdre au commerce des casse-croute. Parce que la différence qu'il y a entre un panier et autre panier c'est justement cette valeur qui te manque.Plus encore ceux qui sont pour le panier à 230 DDZ sont aussi pour le panier à crabes.Monsieur s'offusque pour ses maitres, c'est légitime. Néanmoins je me perds à réfléchir parfois en parlant de fidélité de certaines gents s'il s'agit de l'humaine ou de la canine.A tout ce qui s'écrit sur ce blog par les "blogueurs" et les blagueurs la moralité selon le vieil adage " après la fonte de neige, tout ce qu'elle à caché aux regards finira par être vu" je traduis celui-la ainsi pour rester dans limite de la correction.Chose que je recommande à tous même à table.Parce que voyez mêmes les bonnes choses finissent par donner des indigestions surtout quand le juge du coin les avale mal. Mr âne-onyme (excusez moi pour cette invention à voir toutes les entorses qui se font au règles grammaticale au sein de notre office vous me permettrez bien une... Merci beaucoup) quand tu te rend au marché pour ramener de quoi nourrir tes enfants ou tes oiseaux, je ne crois pas que tu puisses accepter de payer la bouffe des uns au même prix que celle des autres. Donc, que tu t'assoies sur un panier à crabes, pleins cela s'entend, les cadres s'en fichent des trous qu'ils feront dans tes falzars (pantalons selon San Antonio que je te recommande de lire) ; mais que tu t'assoies sur le panier dont ils n'échangent qu'une petite partie contre un casse-croute garantita avec beaucoup de hrissa pour l'avaler afin de ramener la différence à leurs chérubins ça ......... excuses moi mais je te mettrai autant de ponts de suspension que tu veux pour que tu comprennes que l'office est une institution public et non pas le bien d'aucun des singes de la planète.Je ne conclurai pas mon propos aujourd'hui tant il y a dire après un silence qui duré si longtemps que l'amertume à dégager est si grande.Pour te faire plaisir anonyme je suis aussi poltron que toi donc je resterais âna-onyme moi aussi jusqu'au grand déballage.)

samedi 13 juin 2009

LA REFLEXION DU JOUR

Monsieur le directeur général voici deux exemples de commentaire de la part de nos collègues que nous avons jugés bon de publier afin de lancer une réflexion autour de leurs porté ainsi que de leurs sens a vous de méditer bonne chance

(Bonjour les cadres libre de L'Onaaph il faut mettre les mains dans la main et oublier le passé, pour une nouvelle page, nouvelle vie pour notre entreprise, on a marre de cette situation, svp laisser nous travailler pour cette entreprise on n'est là pour ça)

(Lorsque le péché entraîne des conséquences néfastes sur une tierce personne, telles une spoliation de biens, des insultes ou des mensonges, etc. il y a dans ce cas-là une quatrième condition entraînant l’acception du repentir.4. Il est obligatoire de demander le pardon de la personne lésée, de réparer son erreur avant de se repentir à Allah car Allah - que Son nom soit exalté - ne saurait pardonner une faute qui ne le concerne pas en premier lieu. « Que dieu ai pitié de votre âme si vous en avez UNE »)

samedi 6 juin 2009

MTESS CONFIRME


Et une autre correspondance !

Avis aux collègues

Les cadres libres de l'ONAAPH vous prient de bien vouloir garder un langage respectueux a l'égard de tout le monde.
A cet effet nous déclinons toutes responsabilités quant a touts dépassements de langage
cet espace reste respectueux merci

l'espace de communication est pour tout le monde

Chers collègues ; les cadres libres de l'Onaaph vous publies en toute transparence en espérant seulement que vous ne changeraient pas d'avis le jour ou la justice interviendra

· Ce blog est intéressant du fait qu'il permet une liberté d'expression et aussi il nous révèle la bassesse et la subjectivité de ses concepteurs.Malgré tous les révélations qui son du domaine du secret de polichinelle, il est y a une vérité que nul ne peu nier, que depuis l'installation de l'actuel DG, l'entreprise commence à connaitre un nouvel essor dans le domaine du développement et l'organisation, et c'est cela qui provoque votre désarroi, et votre ésemparement, nous assurons que comme par le passé notre office résisteras a vos balivernes.Signé; un cadre libre et indépendant

· Les cadres libres seraient crédibles si et seulement s`ils révélaient leurs identités!!
LE RESTE EST DE LA PURE DIFFAMATION

· En lisant vos dénonciations on dirait que le ciel est tombé sur la tète de l'office.Or il est évident que depuis l'installation de l'actuel DG l'entreprise connait un nouvel essor par l'adoption,d'une nouvelle politique de dévellopement et d'organisation,qui commencent à donné des résultats palpables (augmentation du CA augmentation de la production un flux d'appro considerable...etc)et c'est cela qui vous dérange.L'honneur de ce DG c'est de croire a cette entreprise,car il est son fruit,et non pas un opportuniste,comme certains d'entre vous,qui ne sont venus et repartis à l'ONAAPH,que par opportunisme.Alors gardez vos balivernes car les autorité de tutelle ne sont pas dupes pour vous croirent,et les travailleurs savent préservé leur outil de travail.VOUS NE REVIENDRAIENT PAS

patriote vous avez le merite d'etre publier les cadres libres de l'ONAAPH


Monsieur le ministre de l’emploi, du travail et de la sécurité socialeCeci est un appel de détresse, un S.O.S que nous travailleurs de l’office national d’appareillage et accessoires pour personnes handicapées( ONAAPH), vous lançons dans l’espoir que vous interveniez à temps pour sauver ce que reste à sauver d’une entreprise que la bêtise humaine a mis sur la rive d’un chaos tout proche, tout imminent.Monsieur le ministre, en désignant un homme de la qualité de monsieur DJELLAL Fateh à la tête d’une entreprise chèrement assainie, avec des milliards de dinars que le peuple algérien à payer de sa poche, vous avez fait preuve de beaucoup de légèreté et votre responsabilité est pleinement engagée.Même si nous comprenons que sa désignation était plus le fait de quelques cadres de votre ministère, plus préoccupés par de substantiels cadeaux de toutes natures (montres de luxe, micro-ordinateur portable et plus) et encore, plus préoccupés par des placements et des embauches indus, de qualité très médiocre( Mlle BOUAYADE par exemple grâce à l’entremise de Mr BAKHTAOUI qu’elle ne cesse de réclamer comme tes proche), cela Monsieur le ministre , ne peut dégager votre responsabilité comme premier responsable du secteur et, responsable par conséquent, de l’avenir des entreprises placées sous votre tutelle.Monsieur le ministre, notre confiance en vous reste intacte, nullement entamée, vous l’homme connu, à itinéraire de droit et de droiture, mais il vous appartient, comme devoir professionnel et morale de réparer cette terrible erreur, cet affront que, la désignation au rabais d’un homme a bat mot indigne, a fait à toute l’intelligence que l’Algérie renferme, à toute les compétences que le système éducatif algérien, depuis 1962, a formé sur ses bans.Monsieur le ministre, le mot indigne se trouve en fait à des millions d’années lumières de la réalité de ce qui ce monsieur. Votre ministère, par l’irresponsabilité de quelque uns, a mis a la tête de notre chère office, après assainissement durement payé( plusieurs milliards de dinars, plus de 800 départs volontaires, etc.…) une vraie catastrophe humain, et c’est vraiment peu dire ; vous avez placé comme directeur général, un homme mentalement malade, d’une incompétence manifeste, malhonnête, rejeton du système scolaire algérien, injuste, complexé, haggar et en plus, malheureusement, sans aucune éducation( MACHI MRABBI).Profondément complexé, ne supportant pas les compétents et les honnêtes gens, voyant le complot en permanence autour de lui, il a marginalisé de vrais compétences, leur préférant des incompétents lascars, de vieux retraités, au passé douteux. Il s’est entouré de #cadres# soumis, sans dignité ni honneur, prêts au petits doigt à ramper dans la boue, ne s’occupant que bassesses et de sales besognes à l’instar de notre DCRH, que le vent qu’elle a soufflé pour plaire au maitre, lui retourne en plein visage bourrasque et tempête. Notre mégalo pour n’a pas besoin d’eux, lui qui n’est pas foutu capable, dans sa courte scolarité, de dépasser le seuil de la première année moyenne !!!!!!! et puis sans culot et avec beaucoup de ridicule, il parle de MBA !!!!!!!???? Qu’il apprenne d’abord a parler correctement en communauté que ce soit en arabe ou en français. Pour les hauts diplômes, cher DJELLEL, on ne les achète pas, ils s’obtiennent après de long labour et de grand sacrifice.
Monsieur le ministre, tout le monde aujourd’hui déclare que notre entreprise est a genou, elle a mis le premier pas sue le chemin qui descend droit et a toute allure vers le chaos.Depuis sa désignation à la tête de cette entreprise, cette entreprise a perdu la tête, elle est comme un bateau sans gouvernail ; elle a divorcé avec l’intelligence et répudié l’honnêteté. Diligentez, Monsieur le ministre, des enquêtes sur les dépenses faramineuses dans des projets sans aucune importance ni priorité, sur les passations de marché douteux et favorisant le trabendisme des amis. Cherchez dans ses frais de missions à l’étranger au moment ou il bénéficie de prise en charge total de la part des fournisseurs ; demandez pourquoi l’ex DFC a démissionnée !!!??Que des problèmes, que des injustices et des affaires en justice. Que de graves problèmes succédant aux graves problèmes. Un climat de peur, de pression et de menace. Le dernier épisode et non des moindres, est celui d’une grande pression et de sérieuses menaces que le DG, avec son équipe de rampeurs sur ventre, en compagnie d’un syndicat vendu pour de misérables petits avantages, exercent sur les travailleurs de BENKNOUN. Le but est de les pousser à renoncer à ce que la justice algérienne leur a reconnu comme droit inaliénable (voir le dossier affaires en justice unité BENAKNOUN) dans l’affaire des nuisances, malheusement plusieurs d’entre eux ont cédé à la peur et aux menaces.C’est une affaire qui se chiffre aux milliards de dinars, une vraie saignée pour l’office, qui met son avenir en danger et dont la responsabilité, toute la responsabilité, remonte à ce monsieur, a cause de son mépris et de sa hoggra. Un dossier qu’on aurait pu régler, au temps voulu, grâce aux divers de l’inspection du travail qui reconnait le bien fondé de la doléance des travailleurs (voir courrier N° :2603/IGT/2001), s’il n’y avait pas son caractère buté-hautain-complexé. Un vrai cocktail d’incompétence, trouble mentale et mépris des autres.
Actuellement des pressions insupportables s’exercent sur les travailleurs afin de les pousser à renoncer à leur droit admis par la justice algérienne. Monsieur N. BOUCHLITI, supposé président du comité de participation, ne participe, bizarrement, qu’avec des affaires louches ( affaires des couettes achetés chez la sœur à BENMEKKI) et qu’avec le fonds social des travailleurs pour couvrir illégalement des frais de justice dépensés par les travailleurs contestataires, hormis le fait que c’est un chantage mesquin, les dépenses sont antiréglementaire, non prévue dans l’éventail des dépenses « œuvres sociales » !!!!! Comment peut-il disposer de l’argent des travailleurs, sensé amélioré leur quotidien, comme bon lui semble !!!!!?Monsieur le ministre, les affaires en chaine se suivent et se succèdent comme des bombes à retardement. Elles explosent à des intervalles réguliers, faisant ainsi planer sur l’ONAAPH un spectre terrifiant et une menace de fermeture.Bientôt il sera le tour à des affaires individuelles perdues comme d’habitude en justice (nombreuses) face auxquelles il faut payer, à défaut, blocage des comptes, comme c’est déjà le cas partout : affaire des échelons, prime de responsabilité, etc.Et puis il y’aura l’affaire de la prime de panier qui reflète une figure de la discrimination exercée dans notre office, parce que, Monsieur le ministre, à l’ONAAPH, il ya ceux qui mangent à 130DA et ceux qui mangent à 210DA. Puis le sommet de la bêtise humaine et de la gabegie, l’affaire des points indiciaires : une seule entreprise, deux points indiciaires !!!!!!! Parce que celui qui se déclare « détenteur des absolus » en a décidé ainsi, faisant fi des lois et règlements de la république.Cela ne représente malheureusement qu’un petit échantillon du malaise qui règne à l’ONAAPH, sous les commandes du « garnement », entouré de vieux lascars, rompus à l’art de l’esbroufe.Monsieur le ministre, nous travailleurs de l’ONAAPH, en dénonçant cette mascarade aux conséquences très graves et douloureuses, nous nous sommes acquitté de notre devoir de citoyen, soucieux de l’avenir de leur entreprise et de l’avenir de leur payé, maintenant, il vous appartient à vous de faire le votre.Nous sommes toute confiance, et nous attendonsCollectif des travailleurs de l’ONAAPHCopie :Présidence de la républiqueChefferie du gouvernementCommission d’enquêtes financières APN
Apparemment monsieur BOUCHLITI Nourredine pour remercier le mac du moment de l'avoir placé comme président du CP est prét a tout faire, meme se compromettre pénalement par des opérations sur le fonds des oeuvres socials anti resglementaire.Mr BOUCHLITi, vous vous etes permis de disposer de notre argent cimme bon vous semble.bientot une action en justice vous sera trentée pour abus de confiance et depenses frauduleuses.ce jour là, toute la cannabice du maroc ne vous fera pas oubler la gravité de votre action. ce jour la, je vous assure, djelle vous niera, et vous serai seul, tout seul

mercredi 3 juin 2009

Monsieur le Directeur Général ONAAPH

Le conseil du jour :

« Il faut savoir quitter la table quand la bonne gestion est desservie »

Les faux problèmes & l’inconscience humaine


les vrais problemes

Handicapes moteurs
Marginalisation sur tous les plans
Les handicapés moteurs de la wilaya de Constantine ont gros sur le cœur. En sus de leur situation qui n’a guère évolué depuis des années, moult problèmes viennent encombrer encore leur quotidien trop difficile.
Car la volonté d’écoute et d’assistance manque cruellement de la part des pouvoirs publics. « Tout ce qui a été fait pour les handicapés moteurs ne dépasse guère le cadre législatif où même les lois censées assurer la protection et la promotion de ces personnes sont largement dépassées », explique Kamel Boukebab, président de l’association de wilaya des handicapés moteurs, à la faveur d’une rencontre avec la presse organisée dernièrement au siège de l’association. Sur les 7400 handicapés adhérents à l’association et recensés sur le territoire de la wilaya, dont 889 dans la commune de Constantine, une minorité insignifiante a réussi à accéder aux droits garantis par la loi. Il s’agit en premier lieu de l’emploi où le fameux taux de 1% fixé pour l’embauche des handicapés n’est jamais respecté par les entreprises publiques ou privées en dépit des avantages fiscaux proposés. Sur les multiples quotas de logements, aucune part n’a été réservée aux handicapés moteurs. « Nos démarches qui nous ont mené jusqu’au chef de cabinet du chef de gouvernement en 2004 n’aboutiront pas malgré les recommandations faites aux autorités ». Les problèmes de difficulté d’accès aux établissements publics demeurent toujours posés à l’instar de l’absence des lieux de stationnement réservés pour les handicapés lourds, pourtant proposés à l’étude pour la DAS et l’APC de Constantine. La question des équipements et autres appareillages figure parmi les points noirs qui reviennent depuis des années dans les débats. Les handicapés moteurs déplorent toujours la mauvaise qualité des produits de l’office national des appareillages pour handicapés ONAAPH. Les chaussures orthopédiques coûtent cher entre 14 000 et 22 000 dinars et sont de mauvaise qualité. Les fauteuils roulants s’usent rapidement, et le grand danger vient des tricycles fabriqués par l’unité de l’ONAAPH à El Kala. « On reçoit ces engins qu’on doit nous même revoir en raison de certains défauts inadmissibles avec une garantie de 15 jours seulement », apprend-t-on auprès des bénéficiaires.
Par S. Arslan

mardi 2 juin 2009

Les collègues commentent

  • Nous travailleurs de benaknoun dénonçons la pression qui s'exerce sur nous, les intimidations et le bas chantage pour renoncer à des droits que la justice nous a reconnus.Les zélés du DG n’ont pas de limites: hier Mr SALHI: chef du personnel récompensé par une promotion pour service rendu a fait chanter des handicapés qui travaille a Benaknoun pour le transport du personnel: renoncer à vos droits vous serez transportés sinon débrouillez vs malgré l'handicape pour arriver au travail a l'heure.Mr SALHI ce que vs avez fait c'est indigne d'un homme
  • Cela dénote la bassesse d'esprit qui prévaut à l'office depuis son avènement en tant que "DG", son caractère mesquin, escobar, pusillanime, gredin et margoulin.Le "gamin" en mal de maturité est très mal entouré. Chaperonné par de vieillots retraités au passé purifiant, habitués à la rapine et à la reptation.


De nombreuses personnes ont été renvoyées hier 18 mars 2009 par le personnel exerçant au centre Onaaph de Ben Aknoun à Alger, pour un motif qui n’avait pas lieu d’être. Les usagers de ce centre ont été invités à se présenter à une autre date en raison de la visite qu’a effectuée le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, M. Tayeb Louh, dont le passage n’avait pourtant pris que quelques minutes. C’est ce qu’on appelle de l’excès de zèle.

Votre excellence le DG

Monsieur le directeur général de l’ONAAPH, provoquer une réunion pour déclarer que vous n’avais pas une administration quand il s’agit d’un contentieux aussi grave et important que celui de l’unité de BEN AKNOU ce n’est pas digne d’un directeur général et nous vous informons que le seul tort de la DCRH/AG c’est qu’elle a céder a vos caprices d’épicier et personnes ne voudra être a votre place lors du prochain conseil d’administration.

Que la force soit avec nous

lundi 1 juin 2009

une reunion pour faire quoi au juste !
L’INTERVENTION DU MINISTRE S’IMPOSE L’OFFICE EST EN DANGER,

la tutelle dites vous?

dimanche 31 mai 2009


TIZI OUZOU
Que se passe-t-il à l’ONAAPH ?
Par : Yahia Arkat

Le dossier sera bientôt finalisé et les sanctions ne manqueront pas alors de tomber sur les agents impliqués, cela conformément aux procédures de l’entreprise.
L’Office national d’appareillages et accessoires pour personnes handicapées (ONAAPH) vient de sévir contre des agents affectés à l’unité audiologie de Tizi Ouzou, dont certains sont accusés par les malades clients de “malversations”. C’est après avoir constaté des anomalies dans la gestion de la boîte que la direction de l’ONAAPH a diligenté une commission d’enquête sur site. Huit agents ont été auditionnés par la commission régionale de discipline. Deux ont écopé de huit et six jours de mise à pied. Le chef de l’unité audiologie a fait valoir ses droits à la retraite mais l’on a appris que sa prime a été bloquée jusqu’aux conclusions de la commission chargée d’enquêter. Auditionnée elle aussi, une autre personne a pris un congé de maladie longue durée. Le directeur de l’unité ONAAPH de Tizi Ouzou, Mouloud Toudjine, n’exclut pas des poursuites judiciaires, dès lors que son entreprise a subi un préjudice moral, sans compter le préjudice pécuniaire occasionné à la Cnas et aux patients. Selon notre interlocuteur, les patients, généralement des personnes âgées, ayant subi des préjudices, seront pris en charge par l’entreprise, selon les recommandations de la direction générale de l’office. Le dossier sera bientôt finalisé et les sanctions ne manqueront pas alors de tomber sur les agents impliqués, cela conformément aux procédures de l’entreprise. “Le DG a insisté sur la prise en charge”, affirme M. Toudjine, qui a fait état de l’audition des patients auteurs des réclamations. Le nouveau responsable de l’unité a refusé de déclarer quoi que ce soit sur cette affaire qui a défrayé la chronique sur la place de Tizi. “Voyez avec mes responsables à Alger”, nous a-t-il rétorqué sèchement. Contactée par nos soins, la directrice de l’unité audiologie au niveau de la direction générale de l’ONAAPH à Alger a dû se déplacer au niveau de l’unité audiologie de Tizi Ouzou pour voir de quoi il s’agit. Une quarantaine de patients ont fait des réclamations que l’ONAAPH s’est empressé de prendre en charge, selon l’affirmation de notre interlocuteur. Parmi eux, une vieille malentendante de Larbaâ Nath Irathen se dit être “victime d’une escroquerie orchestrée par certains agents de l’ONAAPH de Tizi Ouzou”, écrit-elle dans sa requête adressée au directeur de l’unité de Tizi Ouzou. Cette vieille femme a bénéficié d’une prothèse auditive à 80% en mars 2003. Pour la renouveler, elle s’est vue proposer une prise en charge à 80% accordée déjà à une patiente décédée, en payant les 20% restants. Soit 8 360 DA. Mais elle n’a rien vu venir depuis. De guerre lasse, elle a recouru à un privé, Audifel, en achetant une prothèse à 28 000 DA. Mais pour se faire rembourser à la Cnas, elle devait justifier qu’elle n’a pas bénéficié de prothèse ONAAPH. Or, voilà qu’elle découvre qu’une prise en charge a été accordée sur son compte et à son insu en juillet 2007. “Il s’agit d’un détournement”, dénonce-t-elle. M. Toudjine veut visiblement tourner la page ; c’est de l’histoire ancienne, pour lui, même s’il promet de prendre en charge les patients arnaqués. Des efforts sont orientés vers l’amélioration des prestations de services. “Nous pratiquons des prix concurrentiels à la portée des petites bourses avec garantie et service après-vente”, renchérit-il. Un détour au sein de l’unité audiologie de Tizi Ouzou nous fait voir que des améliorations ont été faites quant aux conditions d’accueil et de prestations, au grand bonheur des patients.

La justice ayant tranché en leur faveur
Les travailleurs de l’ONAAPH exigent leur régularisation
24 Mai 2009

Un ultimatum de quatre jours, a été donné à l’administration afin de régler tous les litiges, salaires impayés, annulation des décisions de mutation, et application de la décision de justice dans les plus bref délais.
Les techniciens de l’Office national d’appareillage et accessoires pour personnes handicapées (ONAAPH) ont observé, hier, un sit-in au niveau du CHU de Ben Aknoun, à Alger, pour réclamer leur prime de nuisance, qui n’est plus perçue depuis 2001.Exposés à plusieurs dangers du fait de la manipulation de produits chimiques, les techniciens de l’ONAAPH ont, de tout temps, précisent-ils, «perçu une prime de nuisance qui leur revient de droit». Pour appuyer davantage leurs propos, ils exhibent leurs bulletins de paie pour prouver que cette prime est suspendue depuis 2001.Rencontrés sur place, des techniciens ont expliqué à Midi Libre, la genèse de l’affaire qui remonte à 2001, date à laquelle les employés découvrent que la prime de nuisance ne figure plus sur leurs fiches de paie. Renseignement pris auprès de l’administration, cette dernière prétexte l’avoir incluse dans le salaire selon les dispositions de la convention collective signée en 2001.Saisie par les employés en 2007, l’Inspection du travail d’Alger convoque les deux parties pour une tentative de réconciliation qui se traduit par un échec suite à l’absence du représentant de l’ONAPH. Par conséquent, l’inspecteur du travail rédigea un procès-verbal de non réconciliation.Face à l’«entêtement» de l’administration, une action en justice est entamée en 2009. Au mois de février dernier, la justice tranchera en faveur des employés par une décision «rétroactive», ce qui signifie que les employés ont droit à un rappel concernant leur prime de nuisance depuis 2001.Désemparés, les techniciens de l’ONAAPH ne trouvent pas d’explications au comportement de leur administration. Afin de contenir le mouvement de protestation et d’accompagner les salariés, des représentants de la section locale de l’UGTA ont été dépêchés sur place, hier.Nous apprenons, de source sûre qu’un ultimatum de quatre jours, soit d’ici mercredi, a été donné à l’administration afin de régler tous les litiges, salaires impayés, annulation des décisions de mutation, et application de la décision de justice dans les plus bref délais. Faute de quoi, les travailleurs menacent de durcir davantage le mouvement de protestation. Notons enfin, que toutes nos tentatives de joindre les responsables de l’administrataion en question sont demeurées vaines.
Par : Said Zentar
ONAAPH (Appareillages pour handicapés)
Licencié, le directeur crie à la hogra
C’est un responsable profondément en colère face à ce qu’il considère comme une « ingratitude de ses supérieurs hiérarchiques », qui nous a rendu visite pour dénoncer ce qu’il estime être comme « des dérives de la direction générale de l’office national d’appareillages et d’accessoires pour personnes handicapées (ONAAPH), relevant du ministère du Travail et de la Sécurité Sociale. »
« En date du 13 décembre 2005, le ministre de tutelle, en visite dans la région, avait donné des instructions pour la reconstruction de l’unité ONAAPH de Chlef, à Haï Radar, en remplacement des installations en préfabriqué. J’ai alors engagé les démarches nécessaires pour obtenir le terrain d’assiette et établir les plans de réalisation. Par lettre n° 569 du 8 mai 2007, la wilaya nous avait informés qu’une assiette foncière a été dégagée pour ledit projet et qu’il ne reste que le lancement des travaux. En réponse, j’ai adressé une lettre au chef de l’exécutif de la wilaya dans laquelle je l’ai remercié pour cette aide, tout en tenant informée ma tutelle », déclare A.A., l’ex-directeur de l’unité. Cependant, et contre toute attente, il reçoit de sa direction générale, le 25 juin 2007, soit le lendemain de sa missive, un avertissement suivi d’un licenciement pour « n’avoir pas voulu se décharger du dossier de construction de l’unité de Chlef ». « Je n’ai jamais outrepassé mes prérogatives et je n’ai fait que ce qu’on ma demandé de faire. Je considère cela comme une décision arbitraire qui ne vise qu’à saboter le projet, dont je suis la première victime », lance-t-il avant de solliciter l’intervention du wali de Chlef auprès du ministre concerné « pour, dit-il, réparer cette injustice. »
Par A. Y.

samedi 30 mai 2009

MINISTERE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA SECURITE SOCIALE
OFFICE NATIONAL D’APPAREILLAGES ET D’ACCESSOIRES POUR PERSONNE HANDICAPEES
09, BOULEVARD VICTOR HUGO – ALGER / 021. 71. 80. 02 / 021. 71. 90. 62.

Alger, le 24 mars 2009

Les Travailleurs de l’ONAAPH

A
Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi
et de la Sécurité Sociale

Nous, cadres et travailleurs de l’Office, avons le regret, encore une fois, de signaler à votre excellence des irrégularités, des dépassements, des manquements flagrants aux lois de la république et la gabegie qui règnent à notre Office. L’équipe tyrannique du Sieur DJELLAL, dont la plupart sont des retraités contractuels, ont saccagé notre Office et l’ont vulnérabilisé, par de l’affairisme, les indénombrables malversations, les agissements illégaux et du trafic mafieux. N’ayant personne vers qui se tourner et sur qui compter, à l’exception de votre excellence, voulons bien dénoncer tous ces délits et les trafiquants en tout genre et de tout poil surtout ceux, de notre Direction Générale, qui s’occupent directement des transactions douteuses et frauduleuses.
Il est à craindre, Monsieur le Ministre, qu’il y ait à un moment des scandales financiers à l’aspect de catastrophe économique au sein de notre entreprise à l’instar de « KHALIFA GROUPE ». De ce fait, nous avons l’honneur de venir par la présente requête vous demander, Monsieur le Ministre, de bien vouloir se pencher sur notre cas en diligentant une commission d’enquête auprès de notre Office avant que nos rapaces de dirigeants viennent à bout de leur sale besogne.

Nous portons à votre connaissance, Monsieur le Ministre, qu’en parallèle à deux événements majeurs qui ont marqué le mois de mars en cours, à savoir :

1) L’inauguration scandaleuse, en date du 18 mars 2009, de la salle de rééducation, de cent sept mètres carrés (107 m2), de l’unité de BENAKNOUN – Alger, à laquelle vous avez été invité, Monsieur le Ministre, et qui a coûté la bagatelle de deux milliards deux cent cinquante trois millions sept cent soixante cinq mille cent quarante deux dinars et dix sept centimes (2.253.765.142,17 Cts) au lieu de trois cents vingt et un millions de centimes (321.000.000,00 Cts), à raison de trois millions de centimes (3.000.000,00 Cts) le mètre carré bâti fini,

2) Le blocage du compte bancaire de cette même unité en date du 23 mars 2009, par un huissier de justice, suite à un jugement définitif et exécutoire, délivré par le tribunal d’Alger concernant les rappels des indemnités de nuisance dues aux travailleurs de notre office qui ont été supprimées à tord par notre Directeur Général, en sa qualité de président de la commission qui a élaboré la convention collective en 2001, assisté par le Sieur SEBAI, simple technicien en mécanique et actuel directeur central technique. Ce contentieux, très mal géré par la direction générale, particulièrement par sa juriste en l’occurrence Mlle BENKACI, de surcroît directrice centrale de l’administration, a abouti à ce résultat catastrophique qui se chiffre à plus de 26 (vingt-six) milliards de centimes et au risque de fermer l’entreprise pour banqueroute (faillite).


½ ../..


Sans vergogne, ni foi ni loi et profitant toujours de la naïveté des travailleurs, une escroquerie et une arnaque scandaleuse et unique en son genre s’est produite à l’occasion de l’anniversaire de notre office, quant notre Direction Générale a acheté, en pleine saison printanière pour ne pas dire période chaude et sans aucune consultation restreinte préalable ni appel d’offre, mille quatre cents cinquante trois (1453) couvertures (couettes) d’une très mauvaise qualité, avec une somme astronomique de quatre cent vingt trois millions six cent vingt trois mille cinq cent quarante cinq dinars et soixante huit centimes (423.623.545,68 Cts), au profit soi-disant de tous les travailleurs de l’office à travers le territoire national, chez un même fournisseur, possédant un atelier de confection archaïque dans un coin perdu, de surcroît très proche parent (sœur) d’un cadre supérieur de l’entreprise (retraité contractuel), à un prix unitaire deux fois et demie (2,5 fois) supérieur au prix détail appliqué sur le marché local. Au lieu de profiter des prix préférentiels par rapport à la quantité très importante des couvertures achetées et faire jouer la concurrence à travers les différentes régions du pays, des surcoûts viennent se greffer au coût d’achat tels que les frais de transport et les frais de missions colossaux des syndicalistes véreux en villégiature transformés à l’occasion en livreurs (facteurs de la honte) à partir de l’Algérois.

La livraison partielle de cette MARCHANDISE (couette) a été effectuée au niveau de quelques unités seulement sans aucun document ou pièces probantes retraçant son acheminement (ni bon de livraison, ni bon de cession, ni décharge, ni renseignement du fournisseur, ni rien du tout).

Toute cette opération s’est accomplie avec la complicité du président du Comité de Participation, en l’occurrence le Sieur BOUCHELITI, qui a été désigné par le D.G., en passant tout simplement par le bureau syndical, car vous ne trouverez aucune trace de son élection dans une quelconque structure (instance) de base et l’Administration Centrale laisse faire sans lever le petit doigt et se trouve de fait, pas tout à fait, coupable mais responsable de ce genre de dérive. Alors que les Œuvres Sociales sont en situation de découvert (déficit) et en dépassement par rapport aux cotisations des travailleurs dues par l’employeur et qu’en face des prêts sociaux tels que « mariage et décès » de plusieurs travailleurs restent toujours bloqués par cette instance.

Comme il y a à boire et à manger au niveau des œuvres sociales dont la gestion centralisée a toujours été opaque, il fallait des hommes de paille du D.G. et qui mieux que Messieurs BOUCHELITI N. et FERRADJI M. pour cette tâche et qui mieux qu’eux pour couvrir les antécédents de cette instance au passé très trouble, mais malheureusement jamais auditée et la Direction Centrale des Finances et Comptabilité laisse faire sans demander et exiger des comptes.

Dans l’attente des conclusions de la commission d’enquête que vous voulez bien dépêcher sur les lieux, Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de nos sentiments les plus distingués.


Copie :

Monsieur le président de la république,
Monsieur le premier ministre.
Monsieur le Procureur Général
MINISTERE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA SECURITE SOCIALE
O.N.A.A.P.H. – CADRES SUPERIEURS DE LA DIRECTION GENERALE

A MONSIEUR LE MINISTRE
DU MTESS

Si ce courrier arrive jusqu’à vous, ce qui n’est pas évident, car d’après Monsieur DJELLAL Fateh, notre Directeur Général, il est sous la protection de Monsieur BAKHTAOUI, votre propre conseiller, et bien d’autres cadres supérieurs de votre Ministère, qui reçoivent en contre partie des services et des cadeaux considérables de notre Office, ayant une tracabilité au niveau de notre comptabilité, nous vous implorons encore une fois, Monsieur le Ministre, d’envoyer une commission pour confirmer les différentes malversations que nous vous avons déjà signalées et celles gravissimes et délictuelles que nous vous relatons maintenant.

Une opération, entachée d’irrégularité, d’achat d’axes (pièces détachées), chambre à air et pneus pour fauteuil roulant, avec des sommes colossales, qui enfreint toutes les procédures de l’entreprise en la matière et transgresse abusivement les obligations légales édictées par le code des marchés publics, a été effectuée, de gré à gré, avec un fournisseur dénommé « NATRAD » (seul candidat), qui est en réalité le frère du Sieur BELHADJ, S/Dir. des finances au niveau de notre D.G. et proche parent de Mr DJELLAL F. Cet achat a été effectué sans qu’il passe par la commission des marchés et sans son aval préalable. Et le président de cette dernière, en l’occurrence Monsieur BOUAFIA M., n’a pas voulu cautionner cet achat et a catégoriquement rejeté postérieurement cette opération pour justement irrégularité et inobservation des procédures légales.
Il se trouve également que ces axes ne sont pas aux dimensions et normes exigées et ne répondent nullement à la qualité minimale requise, alors pour cacher ces défauts un fraisage et un chariotage, entre autres, doivent se faire systématiquement pour les rectifier avant leur pose sur les roues des fauteuils roulants, fabriqués au niveau de notre unité de production de TIGZIRT, ce qui engendre un surcoût considérable et se répercute négativement (gravement) et immanquablement sur la qualité de ces derniers et qui était déjà à la limite de l’acceptable et l’admissible.

Monsieur DJELLAL F. afin de préserver son fauteuil, de riposter aux multiples dénonciations dont il fait l’objet et de tromper son entourage, par des manœuvres grossières d’un autre âge, n’a pas trouvé mieux que de faire pression sur les Directeurs d’unité afin qu’ils lui établissent une motion de soutien, comme si on l’avait élu au poste, dans un premier temps, du moment que la plupart d’entre eux sont à sa solde. Dans un deuxième temps, il a refait la même démarche avec les cadres centraux, les assistants et les directeurs d’agences, alors que la plupart d’entre eux ne peuvent le sentir.

Cette naïveté démontre la bassesse de son niveau intellectuel et de son raisonnement qui se trouvent au raz des pâquerettes. Cela démontre aussi que les différents écrits que nous avons transmis ont un caractère de véracité qui ont fait réagir le Directeur Général, mais, malheureusement, dans le mauvais sens.

En effet, les droits des travailleurs continuent à être bafoués, le népotisme, les passe-droits, la corruption, le pillage et la mauvaise gestion continuent à régner en maître.

Dans l’espoir que cette situation dramatique se dénoue, nous vous prions, Monsieur le Ministre, de croire à notre profonde considération.
MINISTERE DU TRAVAIL DE L’EMPLOI ET DE LA SECURITE SOCIALE
O.N.A.A.P.H. / 09, BOULEVARD VICTOR HUGO ALGER.: 021.71.80.02 / 021.71.90.62

MONSIEUR LE MINISTRE

Il y a quelques jours, plus exactement le mercredi 18-03-2009, vous avez été invité pour inaugurer une salle de rééducation à l’ONAAPH unité de BENAKNOUN – Alger. Cette salle ne dépassant pas les 100 M2 et qui a coûté la bagatelle de plus de deux milliards de centimes, est en réalité une salle de sport pour le staff de la direction générale et leurs amis et qui ne rapporte aucun bénéfice à notre office.

Cette inauguration était de la poudre aux yeux et ce dont on ne vous a pas informé à ce moment, c’est que cette même unité était en phase d’explosion sociale et qu’en date du 23-03-2009 son compte bancaire vient d’être bloqué et débité d’office par un huissier de justice suite à un jugement (social) de dernier ressort délivré par le tribunal d’Alger.
Ce contentieux concerne les rappels des indemnités de nuisance dues aux travailleurs de cette unité dans un 1er temps et à tous les travailleurs de l’ONAAPH par jurisprudence dans un 2eme temps.
Ces rappels datent de 2001, date à laquelle la direction générale, inspirée par le Sieur SEBAI, simple technicien en mécanique et actuel directeur central technique, a décidé purement et simplement de supprimer les dites indemnités de nuisance, un acquis fondamental.
Ce contentieux, très mal géré par la direction générale, particulièrement par sa juriste en l’occurrence Mlle BENKACI, de surcroît directrice centrale de l’administration, a abouti à ce résultat catastrophique qui se chiffre à plus de 26 (vingt-six) milliards de centimes et au risque de cessation de paiement et de la faillite de l’entreprise.
D’autres contentieux vont apparaître et aggraver la situation à cause de l’incompétence des dirigeants de l’office dont la plupart sont des retraités contractuels, à savoir :
- Blocage des échelons,
- Blocage des rappels de frais de missions,
- Blocage des promotions,
- Blocage de la prime de rendement collective (PRC),…etc

La direction générale continue dans sa politique de blocage avec la complicité du syndicat illégitime, compromis, à la solde du D.G. et qui ne défend que ses propres intérêts matériels, malgré les dispositions conventionnelles et se refuse à octroyer les droits légaux des travailleurs.

Si ces dépassements se transforment en contentieux, l’issue inévitable serait un autre jugement en faveur des travailleurs lésés, avec des portées financières inimaginables et des perturbations incommensurables.


Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de nos sentiments de très haute considération




Copie :
Monsieur le président de la république,
Monsieur le premier ministre.
MINISTERE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA SECURITE SOCIALE
O.N.A.A.P.H. – CADRES SUPERIEURS DE LA DIRECTION GENERALE / 09, BOULEVARD VICTOR HIGO – ALGER / TEL. : 021.71.80.02 – FAX. : 021.71.90.62.

A
MONSIEUR LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE


Si ce courrier arrive jusqu’à vous, ce qui n’est pas évident, car d’après Monsieur DJELLAL Fateh, notre Directeur Général, il est sous la protection de Monsieur BAKHTAOUI, votre propre conseiller, et bien d’autres cadres supérieurs de votre Ministère, qui reçoivent en contre partie des services et des cadeaux considérables de notre Office, ayant une tracabilité au niveau de notre comptabilité, nous vous implorons encore une fois, Monsieur le Ministre, d’envoyer une commission pour confirmer les différentes malversations que nous vous avons déjà signalées et celles gravissimes et délictuelles que nous vous relatons maintenant.

Une opération, entachée d’irrégularité, d’achat de 4000 axes (pièces détachées), chambre à air et pneus pour fauteuil roulant, avec des sommes colossales, qui enfreint toutes les procédures de l’entreprise en la matière et transgresse abusivement les obligations légales édictées par le code des marchés publics, a été effectuée, de gré à gré, avec un fournisseur dénommé « NATRAD » (seul candidat), qui est en réalité le frère du Sieur BELHADJ, S/Dir. des finances au niveau de notre D.G. et proche parent de Mr DJELLAL F. Cet achat a été effectué sans qu’il passe par la commission des marchés et sans son aval préalable. Et le président de cette dernière, en l’occurrence Monsieur BOUAFIA M., n’a pas voulu cautionner cet achat et a catégoriquement rejeté postérieurement cette opération pour justement irrégularité et inobservation des procédures légales.
Il se trouve également que ces axes ne sont pas aux dimensions et normes exigées et ne répondent nullement à la qualité minimale requise, alors pour cacher ces défauts un fraisage et un chariotage, entre autres, doivent se faire systématiquement pour les rectifier avant leur pose sur les roues des fauteuils roulants, fabriqués au niveau de notre unité de production de TIGZIRT, ce qui engendre un surcoût considérable et se répercute négativement (gravement) et immanquablement sur la qualité de ces derniers et qui était déjà à la limite de l’acceptable et l’admissible.

Monsieur DJELLAL F. afin de préserver son fauteuil, de riposter aux multiples dénonciations dont il fait l’objet et de tromper son entourage, par des manœuvres grossières d’un autre âge, n’a pas trouvé mieux que de faire pression sur les Directeurs d’unité afin qu’ils lui établissent une motion de soutien, comme si on l’avait élu au poste, dans un premier temps, du moment que la plupart d’entre eux sont à sa solde. Dans un deuxième temps, il a refait la même démarche avec les cadres centraux, les assistants et les directeurs d’agences, alors que la plupart d’entre eux ne peuvent le sentir.

Cette naïveté démontre la bassesse de son niveau intellectuel et de son raisonnement qui se trouvent au raz des pâquerettes. Cela démontre aussi que les différents écrits que nous avons transmis ont un caractère de véracité qui ont fait réagir le Directeur Général, mais, malheureusement, dans le mauvais sens.

En effet, les droits des travailleurs continuent à être bafoués, le népotisme, les passe-droits, la corruption, le pillage et la mauvaise gestion continuent à régner en maître.


Dans l’espoir que cette situation dramatique se dénoue, nous vous prions, Monsieur le Ministre, de croire à notre profonde considération.
MINISTERE DU TRAVAIL DE L’EMPLOI ET DE LA SECURITE SOCIALE (M.T.E.S.S.)
OFFICE NATIONAL D’APPAREILLAGES ET D’ACCESSOIRES POUR PERSONNE HANDICAPEES ----- O.N.A.A.P.H. / 09, BOULEVARD VICTOR HUGO – ALGER


A

MONSIEUR LE MINISTRE DU MTESS

Nous avons l’honneur de venir respectueusement vous informer des derniers scandales qui secouent notre entreprise, affaiblie davantage par la situation délétère qui sévit que nos dirigeants ne cessent d’accabler.

Encore une fois vos instructions sur le recrutement des retraités sont bafouées par notre Directeur Général. Le dernier arrivé est Monsieur HOUARI ancien sous directeur central parti en retraite proportionnelle ces trois derniers mois et rappelé avec pour mission de prendre en charge les réponses aux multiples dénonciations qui vous sont transmises sur les malversations régnant à notre Office et de les justifier par un verbiage inutile et vain, les actes étant avérés.

Nous allons voir la parade que l’équipe de M. DJALLAL va trouver à propos de l’affaire d’escroquerie et de détournement d’appareils auditifs du centre de TIZI-OUZOU dont les victimes sont des gens âgés et la plupart des anciens MOUDJAHIDINES qui se sont plaints il y a de cela plus d’une année sans qu’ils soient rétablis dans leur droit.
Cette escroquerie et détournement, confirmés par un rapport d’audit interne, ont été couverts, par esprit de clanisme et de régionalisme, notamment par Mlle BENKACI, Directrice Centrale de l’Administration, juriste et de surcroît proche parente de l’incriminé, censée résoudre ce problème et déposer plainte au niveau de la justice, mais malheureusement l’incriminé, en l’occurrence M. MESSAOUDI, chef du centre en question, coule des jours tranquilles après avoir été admis à la retraite sans être aucunement inquiété.
Cette couverture n’est pas aussi gratuite que cela puisse paraître car une opération d’achat à l’importation d’un stock très important d’appareils auditifs défectueux et inutilisables de plus de deux millions de centimes l’unité a été opéré auparavant coûtant des centaines de millions à l’entreprise. Ce stock reste toujours dissimulé dans des magasins sordides à l’abri des regards.

Le dernier scandale qui fragilise l’office à plus d’un titre et celui « de la prime de nuisance », un acquis supprimé à tort des salaires des travailleurs, sans aucune concertation ni accord préalables, il y a de cela quelques années déjà. Ce terrible litige n’a pas été réglé malgré une récente décision de justice et la grogne sociale commence à se manifester particulièrement à l’unité de BENAKNOUN.
Le montant de ce préjudice estimé à 130 millions de D.A. est colossal et ne peut être supporté par l’office. La régularisation de cette prime devra être généralisée à tous les travailleurs sur le territoire national. Cette préjudiciable et monstrueuse erreur de gestion est due à l’incompétence des cadres impliqués dans la conception de la convention collective.

En attendant les décisions que vous jugerez utiles, veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de nos sentiments de très haute considération.