samedi 11 juillet 2009

Poème du jour

Maître DJELLAL, Bd Victor Hugo, régnait.- Des cadeaux, au ministère, il dépêchait.- BENMEKKI, entretemps magouillait.- Thermos, au chaud, les nouvelles, il conservait.- Droppy, avec ses grandes oreilles, ouissait.- Sadique, les femmes, il flagornait.- Ait youcef, de haut pérotait.- MEHENNI, de sa langue et les bottes, il léchait.- BOUCHELITI, les couettes, il commerçait.- Des œuvres sociales, les frais, il acquittait.- Est-ce que, chez le procureur, il irait.- TIOURA, de S.A., avec le téléphone de l'office, il hélait.- De MEHENNI ou BOUCHELITI, les postes, il appétait.- Les travailleurs, devant la justice, lestaient.- Et avec l'huissier, les comptes, ils bloquaient.- Le docteur Z, les tarés, il auscultait.- Mais les guérir, point il ne le pouvait.- Et l'office, à cause du staff, coulait.- Et le blog naissait et se distendait.- Et du bruit, de plus en plus, il en avait.- Et, après la fonte des neiges, la m...Apparaîtra.- Et un beau jour, tout le monde saurait.- Et alors, enseigner aux universités, qui pourrait y allait.- Ou alors à Serkadji, les cancres séjourneraient.- Et le procureur, du travail, il aurait.- Et les travailleurs et travailleuses, enfin débarrassés, heureux, ils étaient; Beaucoup d'enfants, ils faisaient.- Et le bien du mal, heureusement, triomphait.- Et les potentats, là ou ils devaient être aboutiraient.- Et cette fin coruscante ne saurait tarder.